GE
Aux JO de Paris,
l'important,
ce n'est pas de participer,
c'est d'être fiché...
Ce matin, je suis dans l'incapacité d'écrire,
après la terrible nouvelle
que je viens d'apprendre :
MACRON VEUT TAXER LES LIVRES D'OCCASIONS !
Ces temps, vous ne trouvez pas que les infos sont étouffantes ? Ce monde de zombies est envahi de NEWS MALSAINES. On est en train de nourrir la Bête de nos pensées négatives et c'est comme dans le film des Monty Python le « Sens de la vie » ; M. Creosote avale un repas gargantuesque et commence à vomir régulièrement autour de lui, ce qui ne l'empêche pas de continuer à s'empiffrer. Alors qu'il semble enfin repu, un serveur insiste pour lui faire avaler un berlingot à la menthe, ce qui le fait exploser. Les NEWS MALSAINES, c'est le berlingot à la menthe....
Les chaînes-info,
enchantées de pouvoir amplifier
de tous leurs haut-parleurs
les divisions saignantes,
se précipitent sur chaque discours,
sur chaque petite phrase pour exciter les antagonismes
et leur donner la plus grande audience possible,
entretenant ainsi, dans le public,
une atmosphère d'hostilité
et de hargne, parfaitement malsaine.
Le comportement de la presse
dans ses rapports avec le grand capital,
met l'information aux services
des puissances de l'argent.
Les pauvres journalistes pressurisés,
opprimés, enchaînés, exploités,
contraints de se soumettre, de céder,
de se courber, d'acquiescer,
et d'accepter les mensonges
et les manipulations imposés
par une frange de gangsters
arrivistes et irresponsables
qui perpétuent ainsi le grand merdier
de notre planète
pour de plus grands profits.....
Le pied est le point de contact avec le sol, le point d'ancrage associé à la Terre Mère : mère biologique ou mère spirituelle, c'est pour cela que l'on a deux pieds ; le pied gauche qui symbolise la mère spirituelle, le pied droit la mère biologique.
Il nous faut prendre le temps de « se pencher sur nos pieds » afin de les soigner, en prendre soin, les honorer et nous serions bien étonnés de tout ce qu'ils ont à nous enseigner.
Le pied est la clef symbolique de « nos appuis relationnels », ce qui explique en outre l'importance des rituels de lavage des pieds.
Le pied est conducteur du fluide magique ou spirituel dont l'homme est chargé, cet « homme sacré » se reliant à la Mère Terre et permettant à l'énergie divine de s'y déverser.
En Inde, les pieds du Guru (sage hindou), ainsi que les sandales qu'il porte sont vénérés comme les membres par lesquels la grâce divine serait susceptible de se transmettre aux disciples.
L'empreinte, comme une présence, suggère une énergie subtile de la trace de notre passage. Elle nous enseigne que les « pieds se souviennent », et l'empreinte en est la preuve symbolique.
Elle raconte l'origine de l'empreinte, ou de la chaussure, qui marquait la « renaissance du Dieu Solaire » au Solstice d'Hiver ; les chaussures au pied de l'âtre est une survivance de ce culte solaire, exprimant l'attente de la résurrection du Dieu nouveau.
Le mythe de Thétis, voulant rendre invulnérable donc immortel, son fils Achille, le trempe dès sa naissance dans les eaux sacrées de Styx, une seule partie du corps n'est pas immergé, le talon par lequel la nymphe Thétis le tien. Achille, par le talon reste un fils de la terre donc mortel. (Mythologie Grecque)
(Après avoir écrit cela, je n'ose plus regarder mes pieds de pauvre pécheur)
Vers 1920, l'écrivaine russe Helena Roerich, qui vivait à Naggar assistait à une même scène que j'ai eu l'occasion de vivre plusieurs fois. Il y a une trentaine d'année, j'ai assisté au sacrifice d'un bouc après que la personne entrée en transe eu prophétisé ; aujourd'hui les autorités indiennes ont interdit le sacrifice d'animaux. Mais, la nuit, dans les forêts d'épicéas et de déodars de la vallée, on entend parfois les tambours qui résonnent. Est-ce un bouc sacrifié en offrande à une divinité de la forêt ou de la montagne ?
Helena Roerich écrivait sur cette cérémonie qui remonte à la nuit des temps :
« La semaine dernière, dans notre vallée, des prophéties ont été faites à l'effet qu'un violent tremblement de terre devait se déclencher le 22 décembre pour durer trois jours et détruire entièrement notre vallée. Mais le 21, il y a eu de grandes chutes de neige et la température a baissé. Cela a duré jusqu'au 27 décembre. On nous a dit : « Portez attention aux prophéties des habitants locaux qui, très souvent, prédisent correctement les événements cosmiques. Mais bien sûr, vous ne pouvez-vous y fier complètement. » Plus tard on nous a dit : « Nous pouvons confirmer que le danger mortel a été évité. Vous savez combien de courants furent employés. En outre, la neige contenant des particules météoriques a provoqué des vapeurs glacées. Il est très compréhensible que vous ressentiez tension et indisposition. Ainsi, les forces des ténèbres n'ont pas réussi, mais vous avez aussi aidé en ne dérangeant pas nos courants parce que vous étiez harmonieusement unis. Il est essentiel de comprendre comment la résistance ? même indirecte ? aux Rayons est dangereuse, sans parler des véritables dissensions et querelles qui peuvent paralyser les courants. Les suppôts de Satan préparent d'autres choses atroces. Tenez bien notre Main. Je parle à qui de droit. »
AGNÈS PANIER-NULACHIER PERMET AUX BETTERAVIERS DE RECOURIR Ã UN INSECTITICIDE « POUR PROTÉGER LEURS CULTURES »
L'annonce devrait rassurer les betteraviers, pas les opposants aux pesticides. La ministre déléguée auprès du ministre de l'agriculture et de la souveraineté alimentaire, Agnès Pannier-Runacher, a annoncé, vendredi 5 avril, accorder une dérogation aux betteraviers « pour protéger leurs cultures ». Ils sont autorisés à plus recourir à un insecticide permettant de lutter contre les pucerons responsables de la maladie de la jaunisse, très dommageable pour la production de sucre.
« Cette année, les betteraviers pourront désormais faire jusqu'à cinq passages de Movento » au lieu de « deux passages aujourd'hui », a déclaré Mme Pannier-Runacher, interrogée sur l'antenne de France Bleu Nord.
Avant-hier j'ai posté sur uneparjour un petit commentaire sur le grand merdier des pesticides, entre-autre le Glyphosate. Le lendemain je tombe sur cet article du Monde. Je suis atterré par ce gouvernent d'abrutis et de minables ! Et après-ça les agriculteurs vont demander à la population de manger français. Du cancer assuré dans les prochaines années avec l'aval de ce pitoyable gouvernement de loser. Quel cynisme, quel mépris ils ont pour la population française. Aujourd'hui la philosophie des agriculteurs se résume ainsi : POUR FAIRE DU VIVANT, IL FAUT TUER...
Même si dans les mythes Hanuman est très célèbre pour son dévouement au service de Rama, concrètement, il est l'une des divinités les plus populaires et le plus largement vénéré en l'Inde où il possède de nombreux temples. A New Delhi; au Karnataka : à Bangalore; au Kérala à Malappurna, à Payyanur et à Palaghat ...
Cette popularité découle de son statut intermédiaire, à la fois dieu et serviteur. Il parait moins distant et moins majestueux que Rama, par conséquent, plus accessible aux hommes. Un autre facteur important est que cette accessibilité est couplée à sa capacité de protéger les personnes qui l'invoquent.
Hanuman est facilement reconnaissable car il est dépeint comme un singe au corps d'un homme musclé et velu.
Les reproductions les plus célèbres le montrent avec une tête, (seulement) deux bras et une longue queue de singe. Il a généralement un visage de singe et un grand corps humain musclé. Mais il est également connu sous diverses autres formes, par exemple avec dix bras et cinq têtes. Il est de couleur jaune, a le visage rouge et porte souvent une massue (gada) comme arme dans sa main gauche et une montagne dans sa droite.
GLYPHOSATE MON AMOUR
Les campagnes roundupisées au glyphosate
et autres merdes, au lieu de nous empoisonner,
devraient mieux respecter leurs terres
au lieu de nous casser les couilles
avec leurs gros tracteurs à 100 000 Euros.
Qu'ils apprennent des vrais paysans
la valeur du fumier qui contribue
à la fertilisation et à l'enrichissement des sols
et est le meilleur allié pour retenir l'eau
et faire face aux périodes de sécheresse,
pour autant que le fumier
ne soit pas bourré d'antibiotiques,
résidus de médicaments absorbés par les animaux
pour augmenter leur croissance afin
que l'éleveur puisse augmenter ses bénéfices
et s'acheter un plus gros tracteur.
CE QUI SEMBLE FOLIE POUR L'IGNORANT PEUT-ÊTRE UNE HAUTE SAGESSE
Dans « Rêves d'Indiennes » de Colette Vlérick (Calmann-Lévy), l'autrice nous raconte l'histoire de Louise qui n'a pas encore treize ans quand la police du roi la déshabille en pleine rue de Brest. Son crime ? Elle porte une étoffe prohibée, une indienne. Toute l'Europe s'est prise de passion pour ces cotons tissés en Inde et peints de couleurs éclatantes. Mais la France les interdit toujours, en plein XVIIIe siècle !
Dans les années 1650, les tissus de coton imprimés appelés « Indiennes » se répandent en Europe et en France, avec l'intensification du commerce entre Orient et Occident. Ces étoffes légères aux décors colorés et variés, encouragent le goût des Européens pour l'exotisme et les Compagnies des Indes n'ont aucun mal à écouler leurs considérables cargaisons de toiles en provenance d'Inde.
En France, l'importation et la fabrication des toiles de coton imprimées connaissent un tel succès que les métiers lyonnais de la soie et les manufactures royales de laine s'insurgent contre la forte concurrence de cette nouvelle activité. En octobre 1686, un Arrêt du Conseil d'État du Roi prohibe les « toiles de coton peintes aux Indes ou contrefaites dans le royaume ». Louis XIV et Colbert veulent protéger les manufactures textiles françaises : il est désormais interdit d'importer ou de fabriquer des Indiennes.
Cependant plus les mesures d'interdiction s'intensifient, plus le pouvoir monarchique échoue à enrayer ce véritable phénomène de mode qui va, pour la première fois, concerner toutes les classes sociales. Les Français veulent porter des Indiennes ! La prohibition encourage une très forte contrebande : les portes d'entrée des Indiennes étrangères sont les régions frontalières et les ports. Des ateliers d'indiennage existent sur le territoire du royaume pendant la période de prohibition (à Marseille, Le Havre, Rouen, Paris, Angers, Orange) mais ils ne peuvent vendre leur production qu'à l'étranger.
L'indiennage va contribuer à l'essor de l'industrie chimique qui lui est spécialement destinée dès la fin du XVIIIe siècle. À Rouen, la fabrication d'acide sulfurique apparaît en 1766 puis, à Lyon en 1787, jumelée à une fabrication d'acide nitrique. L'usine de Javel, à Paris, produit du chlore dès 1777 et fabrique également du vitriol. Les trois premières régions de la chimie sont nées !
(Source : Histoire des Indiennes, ces tissus très à la mode au XVIIIe siècle, Isabelle Bernier, historienne.)
Un saint homme dans le désert rencontre un lion.
Alors il s'agenouille et prie :
« Seigneur, faites un miracle !
Inspirez à ce fauve des sentiments chrétiens ! »
« Miracle ! Le lion se prosterne,
joint les pattes et dit :
« - Seigneur, bénissez ce repas. »