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La villeâ¦
â¦et ses pigeons, ses vendeurs de salades, ses macros aux canines étincelantes. La ville et ses troupeaux de consommateurs chargés de cabas, ses bataillons de contractuels, de vigiles, de flics, ses trottoirs usés par les balayeuses. La ville et ses artères encholestérolées par les bagnoles. La ville et son dernier cinéma porno « version française ». La ville, décidément, enchantera inépuisablement mon regard. Mais jamais autant que les vagues de la plage de Palombaggia.
[Francis Traunig]