GE - Une photo par jour

La semaine uneparjour... 22 janvier 2018

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Orgosolo (Sardaigne)

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Mamoiada (Sardaigne)

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Castelsardo (Sardaigne)

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Bonifacio (Corse)

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Sciacca (Souvenir)

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Saint Lager Bressac (Ardèche)

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La Bastide (Ardèche)

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Oil Painter Joel Rea Crafts New, Modern Myths - Hi-Fructose Magazine

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publication de Christian Pensch - Guten Morgen - Ihren Ausweis bitte - ( Kirill Nasvaev)

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le mur de verre

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Mort et arrogance ! Arrache les chemises !

#mort #death #arrogance #cravate #chemise #politique #politics #policies #arracheleschemises #pogography #pogographie #noirceur #blackpower #pouvoirdunoir #silence #ritual #rituel #shadow #dark #obscur #dance #letsdance #burnyourpictures #unseparated #unafraid #uneparjour #bruletesimages #coupedecoupetronçonne #street #blackandwhite #noiretlanc

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la seule façon de continuer à penser...

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l'attente avant est la plus belle

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mon coeur est rouge

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#myheart #red #rouge #night #pouvoirdunoir #angels #anges #paradisterrestre #visitors #visiteurs #afraid #ritual #rituel #obscur #pogography #silence #noise #burnyourpictures #unseparated #unafraid #uneparjour #dance #letsdance #wedontcareabout

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Minca, Colombie

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Minca, Colombie

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Minca, Colombie

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Minca, Colombie

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Grâce au petit laser LIDAR, découverte des traces d'un petit amphithéatre rural ROMAIN , au pied des immeubles.

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Le chien attend son maître SDF et lecteur sur un parking de super marché.

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Esthétique du mauvais temps : un glaçon sur mon balcon...

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Ce que vit Jonas en entrant dans la gueule du cachalot.

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Esthétique du mauvais temps.

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La Rochelle devient une des 8 meilleures équipes de rugby d'Europe.( ici maillots noirs et gris )

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Plantations d'hiver !!

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HIVER INDÉFINISSABLE

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HIVER INDÉFINISSABLE

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HIVER INDÉFINISSABLE

C'est pour égayer cet hiver indescriptible.

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HIVER INDÉFINISSABLE

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HIVER INDÉFINISSABLE

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HIVER INDÉFINISSABLE

Sous cet hiver se passent des choses...

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HIVER INDÉFINISSABLE

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INDE MYSTERIEUSE – 21 – Le port d'Ernakulam – Conversation avec un Indien – « Tu viens de quel pays ? » « Suisse » «Oh ! Suisse, la vache Milka, vous avez de très belle vache » « Merci, et vous de très beau éléphant rose. »

AU PAYS DES MONTAGNES BLEUES (16)

Les Todas sont sans conteste des disciples de la magie Blanche, magie qui ne peut-être accessible à ceux qui se livrent au péché ou éprouvent simplement un penchant pour lui. Seuls, les hommes dont l'âme est pure « voient Dieu ». L'adepte de la magie Blanche aspire à réaliser des actes bons et créateurs du bien ; l'adepte de la magie Noir ne désire que des accomplissements diaboliques, que des actions bestiales....
Les Todas possédaient entièrement cette science magique et l'utilisaient pour guérir les malades. On amenait un malade à un prêtre Toda et il le guérissait. On couchait le malade le dos tourné vers le soleil : il restait ainsi plusieurs heures, durant lesquelles le prêtre guérisseur faisait des passes, traçant des figures incompréhensibles, avec sa petite canne, sur différentes parties du corps, surtout sur l'endroit malade et soufflait dessus ; puis il prenait une tasse de lait et prononçait des paroles secrètes, puis finalement soufflait sur le lait et le donnait à boire au malade. On ne connait pas d'exemple qu'un Toda, ayant consenti à soigner quelqu'un, ne l'ait guéri. Mais il n'y consentait que rarement. Jamais il n'aurait touché à un ivrogne ou à un débauché. « Nous soignons par l'amour qui coule du soleil » disaient les Todas, « et l'amour n'agira pas sur un homme méchant. »
Afin de reconnaître les méchants parmi les malades qu'on leur amenait, on étendait ces derniers devant le buffle-chef : « s'il fallait soigner le malade, le buffle l'examinait, le flairait, mais s'il devenait furieux on emportait le malade, il était inutile d'essayer de le guérir. »

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INDE MYSTERIEUSE – 22 - Sur les backwaters du Kérala, qui sont des routes principales, des ruelles, des carrefours.... Mais tout en eau.

AU PAYS DES MONTAGNES BLEUES (17)

Autre aspect étrange des Todas, c'est qu'ils se divisaient en sept clans ou tribus. Chaque clan se composait de cent hommes et de vingt-quatre femmes. D'après ce que les Todas disaient eux-mêmes, ce nombre ne variait pas et ne pouvait en aucun cas changer ; il est resté éternellement le même depuis leur arrivée il y a 7000 ans dans les Montagnes Bleues.
Les Todas n'ont qu'une femme pour tous les frères d'une même famille, que ceux-ci soient même douze. La notable minorité des enfants de sexe féminins dans les naissances annuelles était tout d'abord attribuée au meurtre des nouveau-nés qui était assez répandu dans l'Inde de l'époque. Les Anglais brûlaient, on ne sait pourquoi, du désir de saisir les Todas en flagrant délit de crime ; il a été impossible de constater le moindre assassinat d'enfant. Les Todas n'avaient qu'un sourire de mépris pour tous ces soupçons : « Pourquoi tuer ces petites mères ? disaient-ils, Si nous n'avions pas besoin d'elles, elles n'existeraient pas. Nous savons le nombre d'hommes, le nombre de mères qu'ils nous faut mais nous en aurons pas plus. »
Les mots « femmes », « fille » et « vierge » n'existaient pas dans la langue des Todas. La conception du sexe féminin se liait indissolublement chez eux avec celle de la maternité. Aussi ne connaissaient-ils aucun terme spécial pour appeler notre sexe, en quelque idiome qu'ils s'exprimaient. Parlaient-ils d'une vieille femme ou d'une petite fille d'un an, les Todas disaient toujours « mère », n'employant, quand une précision est nécessaire que les adjectifs : « vieille », « jeune » et « petit ».
« Nos buffles, déclaraient-ils souvent, ont fixé une fois pour toujours notre nombre de sept cent : celui des mères dépend aussi d'eux. »

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INDE MYSTERIEUSE – 23 – Plage du Kérala au bord de la mer d'Oman

AU PAYS DES MONTAGNES BLEUES – 18 -

À la tombée du jour, on pouvait voir une curieuse cérémonie qui se répétait quotidiennement chez les Todas. À peine le soleil s'était-il couché, que la tribu Toda se préparait à faire rentrer leur bétail sacré. Disséminés dans le champ, cent buffles environ paissaient tranquillement autour de leur buffle « chef » : celui-ci ne quittait jamais son poste d'observation au milieu même du troupeau. Chaque animal portait des sonnailles fixés sur ces cornes ; mais tendis qu'elles étaient en cuivre chez tous, le buffle « chef » se distinguait par l'argent pur de ses clochettes et l'or de ses boucles d'oreilles.
On conduisait chaque buffle à une mare où il était lavé, essuyé avec de l'herbe sèche ; ensuite il buvait à sa soif, puis on l'enfermait dans le tiriri, leur écurie. Tandis que les buffles s'approchaient des portes, les Todas « laïques » des deux sexes, soit 80 hommes environs et 24 femmes d'âges différents, se tenaient en deux rangs, des deux côtés des portes, les hommes à droite, les « mères » à gauche. Tous saluaient chaque buffle lorsqu'il passait. De plus, chaque buffle femelle devait être saluée jusqu'à terre et on devait lui tendre un peu d'herbe. Heureuse est la « mère » dont cette offrande aurait été accueillie par la femelle « chef ». Ce fait était considéré comme un heureux présage.
Après avoir soigné et enfermé les buffles mâles, les hommes se mettait à traire les buffles femelles, celle-ci ne permettaient pas à une femme de s'approcher d'elles. Cette dernière cérémonie sacrée durait deux heures. Les vases en écorce d'arbre étaient portés sept fois autour de la femelle qui venait d'être traite puis on les déposait dans la « crémerie », maison spéciale tenue en grande propreté. Seuls les « initiés » trayaient les bêtes.
Lorsqu'on avait fini de traire tout le lait, les portes du tou-el (écurie sacrée) étaient fermées et les initiés entraient dans l'étable à buffles. Alors la pièce contiguë à l'étable s'éclairait de beaucoup de petites lampes qui brûlaient jusqu'au matin. Cette chambre était la demeure des seuls initiés. Personne n'a jamais su ce qui s'accomplissait dans ce sanctuaire secret et il n'y a aucun espoir pour qu'on le sache un jour........

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INDE MYSTERIEUSE – 24 – Bangalore – Visvesvaraya Museum

AU PAYS DES MONTAGNES BLEUES (19)

Une fois par an, au printemps, pendant trois jours, les clans des Todas effectuaient, l'un après l'autre, une série de pèlerinages et gravissaient le pic Toddabet où se trouvent aujourd'hui les ruines du temple de la Vérité. Ils accomplissaient dans ce sanctuaire une sorte de pénitence publique et de confession mutuelle. Les Todas y tenaient conseil et avouaient réciproquement leurs péchés volontaires et involontaires. Toutes ces cérémonies particulières, ces rituels appartenant à une philosophie tenue manifestement secrète, incitent les êtres versés dans l'ancienne magie chaldéenne, égyptienne et même moyenâgeuse à penser que les Todas étaient instruits dans les sciences voilées primitives des Mystères.
Les Todas ignoraient toute expression rappelant simplement le monothéisme, le déisme, et ils ne pouvaient être pas davantage considérés comme des païens, car ils n'adoraient rien ni personne, hormis leurs propres buffles, et il faut insister sur « propres », car ils n'honoraient aucunement les buffles étrangers, des autres tribus. Ils ne toucheraient au grand jamais au lait, au fromage ou au beurre des autres buffles qui ne pouvaient pas être leurs nourrices sacrées.
Jamais les Todas ne mangeaient de viande ; ils ne semaient, ni ne moissonnaient jamais, considérant comme travail inférieur toute occupation autre que la traite des buffles et la garde des troupeaux. Durant 7000 ans, dans les Montagnes Bleues, les Todas ont vécu invariablement le même genre de vie sans avoir changé le moindre iota dans leur existence depuis qu'ils ont quitté leur Terre Mère...... Le continent perdu de MÛ.

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INDE MYSTERIEUSE – 25 - Bangalore – Défense civile

AU PAYS DES MONTAGNES BLEUES (20)

J'ai découvert le peuple des Todas il y a 30 ans à travers le livre d'Héléna Petrovna BLAVATSKY, (1831-1891) « Au pays des Montagnes Bleues » qu'elle a écrit en 1888. J'avais été frappé par cette tribu atypique car il n'existe nulle part au monde une autre tribu qui ressemble au peuple Toda. Héléna Blavatsky est la seule qui a approfondi le côté ésotérisme en révélant au monde occulte l'existence de cette tribu des Montagnes Bleues. Cette tribu représentait une énigme pour les ethnologues, une énigme indéchiffrable. Héléna Blavatsky a effectué plusieurs voyages dans les Nilgiris, pour essayer d'élucider le mystère qui entoure les Todas, elle a récolté quelques brides de leurs rituels qui sont forts intéressants et grâce à ses connaissances sur la « Doctrine Secrète » elle a soulevé un léger voile.......

Les Anciens savaient nombres de vérités que nous avons perdu, mais un jour, des mystères sortent des cercles occultes, passent de l'ombre.... à la lumière. Si nous n'arrivons pas à voir cette VÉRITÉ ancienne c'est parce que nous avons été conditionnés pour qu'elle nous échappe : nous avons été ensorcelés par le matérialisme. Un abîme sépare l'homme très nourrit des pensées spirituelles, de celui dont le mental, lourd et obtus, est plein de préoccupations matérielles, sinon animales. C'est l'activité du corps, des sens et du mental qui nous empêchent de voir la VÉRITÉ, NOTRE NATURE VÉRITABLE.

Ceci étant dit, je peux bientôt conclure mon histoire sur les Todas avant de continuer mon voyage dans la « Vallée des dieux » au pied des Himalayas....

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INDE MYSTERIEUSE – 26 - Bangalore – Séance photos

AU PAYS DES MONTAGNES BLEUES (21)

Le premier jour de mon séjour à Ooty dans les Montagnes Bleues, je me suis réveillé en entendant des chants rituels Todas. J'ai cru que je rêvais. Mais en me levant, j'ai regardé par la fenêtre de mon hôtel et j'ai aperçu des Todas qui déambulaient au milieu de la bruyante circulation. Certains cherchaient un tuk-tuk pour remonter dans leur village et d'autres se dirigeaient vers mon hôtel. Vers les 10 heures, je suis sorti de mon hôtel et j'ai été très surpris de voir les Todas qui sortaient du bar de l'hôtel, un des rares endroits de Ooty où l'on sert exclusivement de l'alcool. Un des Todas avait même une cigarette au bec. Je me suis dit qu'on était loin des rites et des mœurs purs de leurs ancêtres.
Le lendemain je suis allé visiter un village Todas, j'avais un peu peur de ce que j'allais trouver, car les instances touristiques Indiennes ont totalement disneylandisé la région. Heureusement je n'ai pas été déçu. Le village Toda est séparé en deux, d'un côté il y a le nouveau village, où les Todas vivent dans des maisons modernes avec électricité et télévisons et de l'autre l'endroit sacré des Todas qui est resté tel que l'ont décrit les écrivains du 19ème siècle. Un mur de pierres sépare le moderne et le traditionnel. Pour entrer dans l'espace sacré il faut se déchausser et c'est pieds nus que j'ai pu voir mes premiers véritables Todas. La maison des Todas s'entoure toujours d'une muraille de pierre assez haute et la cour ou tou-el, au-dedans de ce mur, est considérée aussi comme sacrée. Devant la maison deux gardien de buffles Todas prenaient leur repas et surprise, la scène qui s'offrait à mes yeux était exactement ce qu'avait décrit Héléna Blavatsky 150 ans auparavant. Un des Toda, un vase en écorces d'arbres à la main, buvait de la crème préalablement versée dans une feuilles pliée en forme de bol. Rien de moderne ne venait entacher ce tableau primitif.
« Ces Todas-là, écrivait Héléna, n'habitent pas leurs demeures le jour : ils ne font qu'y passer la nuit. Sans aucune attention pour le temps, sous les souffles les plus violent des moussons, sous les pluies torrentielles, on peut voir les voir assis en groupe par terre, ou cheminant deux à deux. Tout de suite après le coucher du soleil, ils disparaissent derrière les fentes minuscules de leurs pyramides en miniature. Après le coucher du soleil, nul ne peut les voir, ni les faire sortir de leur demeure ».

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INDE MYSTERIEUSE – 27 – Village traditionnel de la vallée de Kulu dans le Nord de l'Inde

AU PAYS DES MONTAGNES BLEUES (22)

Aujourd'hui le village Toda est séparé en deux par un mur de pierres. D'un côté le moderne qui ne diffère pas des autres villages hindous, et de l'autre le primitif qui vous plonge dans le primitif. Je n'ai pas pu communiquer avec les Todas de la tribu qui semblent encore suivre les rites ancestraux. Par contre j'ai pu les photographier tels qu'ils sont aujourd'hui et c'est déjà un petit pas. Impossible de savoir si ils appliquent encore leurs rite, et ça ne sert à rien de le demander aux hindous, ils sont les champions des selfies, mais de leur histoire ils s'en tapent. Ils arrivent, ils débarquent de leur taxi, font deux trois selfies puis s'en vont, heureux de leur excursion. En vacances, du moment qu'ils ont à manger, qu'ils ont pu faire une dizaine de selfies devant un pot fleur, dont la plante tire plutôt vers bas que vers le haut, pas de problème. Heureusement pour moi, ce jour-là ils n'y en avaient pas, faut dire que c'était l'heure du déjeuner, et pour visiter un site tranquillement c'est la bonne heure.
Je suis aller ensuite au temple des Todas qui se trouve à 100 mètres du village, pour cela il faut se déchausser, et c'est pieds nus, au milieu des bouses de buffles que j'ai photographié ce temple qui à la forme d'un cône, qui peut sembler penser à l'Afrique. Une dizaine de jeunes buffles paissaient au alentours entourant un ancien dolmen. Deux Todas sont passés sans s'occuper de moi et ont disparu dans le sous-bois.
Deux jours après j'avais encore un rêve à réaliser, aller voir le le pic du Dodabet et sont temple en ruine qui était consacré à la divinité destituée : le Vrai. Mais aussi la colline des sépulcres ou il est difficile à celui qui monte une fois de l'oublier ensuite. C'est vrai, je n'allais pas l'oublier.......

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Montagne altura

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Boulon de soleil sur le Rio Grande-rivière

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Ils la course pour l'espace

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Betsy et le soleil ... une beauté dans chaque coin

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Les fourmis sont si froides qu'elles ont installé un poêle à bois

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Le nombre de Beatles en vol

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