GE
…
You are Autumn
Your voice whispers words of yesterday
You are Autumn
…
It is said that, once the clerk gone, they dance all night, and dance all night, and dance all night, and they dance, and they dance, and they dance, dance, dance, and dance, 'til dawn.
"The belief in a supernatural source of evil is not necessary; men alone are quite capable of every wickedness." J. Conrad
« Oh, mon Dieu, nous l'avons fait, nous l'avons fait, nous l'avons fait! » Sofiane Aouchiche
Le front de mer de St Gilles, si décrié, est figé dans un spectacle photographique fascinant.
A l'entrée du port le navigateur se souvient et ne songe qu'à renaître sur l'eau.
…dégringolent du ciel deux corneilles emmêlées et s'écrasent en paquet sur un trottoir. Un tourbillon braillard d'une trentaine d'entre elles semble encourager les combattants. Les passants sont médusés, effrayés. Quelqu'un se rapproche, fait mine de botter du pied le paquet de plumes. Elles s'envolent, la chasse reprend. Se retrouvent sur le bord d'un toit. De là, en se débattant, glissent et s'écrasent sur une verrière. Elles s'observent alors comme deux crotales, face à face, pour recommencer de plus belle. Une femme d'une fenêtre proche, leurs jette un verre d'eau. Elles s'envolent vers un platane. Les passants dans la rue, les corneilles, au-dessus, suivent les deux enragés. Du sommet de l'arbre, elles en dégringolent, se martelant du bec avec fureur, tombent devant un café. L'une d'elle se dégage, est rattrapée en plein vol, devant la poste, pour finir sur la route.
Mais le trafic, enfin, les disperse. Elles s'envolent et le nuage de corneilles aussi…
« O Fortuna
Velut luna
Statu variabilis »
…mais je ne vois que la nuque de cette femme…
« Sort monstrueux
Et vide
Tu fais tourner la roue »
…elle est immobile et droite. Vêtue de noir. Cinquante ans peut-être ?
« Tu me tourmentes aussi ;
Là par le jeu
Mon dos nu
J'apporte à ta vilenie… »
…ce chiffre tatoué sur sa nuque me tourmente. Les images défilent au pas de l'oie devant mon imagination. Impossible, elle est trop jeune. Impossible, cependant, cependant…
« Le salut du sort
Et son mérite
Sont maintenant contre moi »
…lui demander ? oser poser la question ?
« Il est fait
Et défait
Toujours en esclavage »
…mais le puissant souffle des 200 choristes m'embarque avec toutes mes questions dans la terrible frénésie de 1933…
« Pincez les cordes vibrantes
Puisque le sort
Abat l'homme fort
Pleurez tous avec moi »
…et ne peux m'empêcher d'associer, Carmina Burana, la cantate de Carl Orff jouée la première fois en 1937 avec la nuque de cette femme.
"Lorsque les mystères sont très malins, ils se cachent dans la lumière."
Me bouleversent ces gens qui glissent le long des rues vers leur travail et transportent avec une attention un peu théâtrale un gobelet en carton rempli de pisse de bouc à plus de 5 francs la dose.
L'Arabica Star Fuck!
Diana et Holga, l'antidote à l'hégémonie numérique.
Holga pour réactiver la magie qui rôde dans les tréfonds de la chambre noire ! Là où se nouent des alliances contre-nature entre ombres et lumières.
Diana pour contrer le flux tendu, pour terrasser le net et le super net.
Se faire des cures de lumières baveuses avec Holga, des cures d'aléatoires avec Diana, des cures de flou dans le monde pas net du numérique.
Sa langue se débattait dans ma bouche comme la queue d'un chien content de retrouver son maître. Comme si par cette intrusion molle et liquide, elle cherchait à me faire admettre l'évidence que, dans un premier baiser, nichent les promesses de tout le reste.
Mais je pensais à autre chose. Elle était loin de s'en douter…
Immobiliser le caddy sur un socle. En granit, en acier pour bien lester l'intention. Tisser autour de l'objet sacralisé un discours sur la consommation, la déflation, la crise. (C'est selon l'inspiration). S'adjuger l'aval d'un conservateur en lui laissant de l'espace pour qu'il y sème son grain (qui justifiera son salaire), convoquer la presse, (qui a si peu à se mettre sous la dent quand les catastrophes font grève), ameuter les amis (qui s'ennuient quand ils ne boivent pas) donner de la consistance au vide (quand la mort fait peur) et appliquer la recette avec n'importe quoi : une chaise à laquelle on pourrait donner des dimensions monumentales, à des pneus peints en rose qui, empilés méticuleusement, pourraient suggérer un sous-marin, etc�
Tout est là, sous nos yeux, c'est si simple. Il n'y qu'à �
J'ai d'abord pensé aller boire un café, puis j'ai vu les trucs autour et le cercle est apparu
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I first thought I'd like a cup of coffee. Then I see the stuff arround and the circle appears
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J'aimeÇa ne m'intéresse plus
afrikaans : reënboog (af)
albanais : ylber (sq) masculin
allemand : Regenbogen (de) masculin
amharique : ቀስተ፡ደመና (am) (k'ästä dämäna)
amuzgo : kítzú jn'â (amu)
anglais : rainbow (en)
anglo-saxon : reġnboga (ang)
arabe : قوس قزح (ar) (qaws qazah)
arménien : ծիածան (hy) (çiaçan)
aymara : kurumi (ay)
basque : ostadar (eu), ortzadar (eu)
bosniaque : duga (bs) féminin
breton : kanevedenn (br) féminin, gwareg-ar-glav (br) féminin
bulgare : дъга (bg) (dâga) féminin, небесна дъга (bg) (niébiésna dâga) féminin
catalan : arc de Sant Martí (ca) masculin, arc d'iris (ca) masculin
chinois : 隮 (zh) (jī), 彩虹 (zh) (cǎi hóng)
coréen : 무지개 (ko) (mujigae)
croate : duga (hr) féminin
danois : regnbue (da)
espagnol : arco iris (es) masculin
espéranto : ĉielarko (eo)
estonien : vikerkaar (et)
finnois : sateenkaari (fi)
frison : reinbôge (fy)
gaélique irlandais : bogha báistí (ga) masculin, tuar ceatha (ga) masculin
galicien : arco da vella (gl) masculin
gallois : enfys (cy), bwa'r Drindod (cy), bwa'r arch (cy)
grec : ουράνιο τόξο (el) (oiránio tóxo) neutre
haoussa : bàkan gizò (ha) masculin
hawaïen : ānuenue (haw)
hébreu : קשת בענן (he) masculin (keshet be'anan)
hébreu ancien : קֶשֶׁת (hbo) féminin
hongrois : szivárvány (hu)
ido : ciel-arko (io), pluv-arko (io)
indonésien : bianglala (id), pelangi (id)
interlingua : iris (ia), iride (ia)
islandais : regnbogi (is) masculin, friðarbogi (is) masculin
italien : arcobaleno (it) masculin, iride (it) féminin
japonais : 虹 (ja) (にじ, niji)
kikuyu : műkűnga-mbura (ki)
kurde : keskesor (ku) féminin, keskûala (ku) féminin, qozeqer (ku) féminin, bûka baranê (ku) féminin
latin : arcus (la) masculin
letton : varavīksne (lv)
lingala : monama (ln)
lituanien : vaivorykštė (lt)
malais : pelangi (ms), benang raja (ms)
maltais : qawsalla (mt) féminin
mannois : goal twoaie (gv) masculin, Bhow Ghoree (gv) masculin (poétique)
maori : kahukura (mi), aaheahea (mi), paahoka (mi), uenuku (mi), kairangi (mi), rore (mi), taawhanawhana (mi)
maya yucatèque : cheel (yua)
mongol : солонго (mn) (solongo)
nahuatl : cozamalotl (nah)
néerlandais : regenboog (nl) masculin
népalais : इन्द्रेनी (ne) (indreni)
norvégien : regnboge (no)
nyanja : utawaleza (ny)
persan : رنگین کمان (fa)
polonais : tęcza (pl) féminin
portugais : arco-íris (pt) masculin
quechua : kurmi (qu)
roumain : curcubeu (ro), iris (ro) masculin
russe : радуга (ru) (radouga) féminin
sami du Nord : arvedávgi (se), bajándávgi (se)
sami skolt : teärmmazjohss (sms)
serbe : Latin: duga (sr) féminin, božiljak (sr) masculin
slovaque : dúha (sk) féminin ; pestrofarebný (sk)
slovène : mavrica (sl) féminin
somali : qaanso (so), jeegaan (so), caasha carab dheer (so)
sranan : alenbo (srn)
suédois : regnbåge (sv)
swahili : upinde (sw) wa (sw) mvua (sw)
tagalog : bahagharì (tl); balangáw (tl)
tahitien : anuanua (ty)
tamoul : வானவில் (ta) (vānavil)
tchèque : duha (cs) féminin
turc : gökkuşağı (tr), ebem kuşağı (tr), peygamber kuşağı (tr)
vietnamien : cầu (vi) vồng (vi)
volapük : reinabob (vo)
yiddish : (yi) (regn-boygn) masculin
les minutes semblent couler librement entre les doigts
et pourtant ce fut très long entre le clic et le clac
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time never stops
it's only the begining
On la dit bleue et la Terre est marron et vert
on peut la prendre entre les doigts
ou montrer le pouce pour en faire le tour
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The Big Blue, like Earth, is braun and green
Take it with your fingers and walk arround
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Il est une chose qui est absolument claire, c'est que le feu est périssable.
Nous nous donnons un mal fou pour l'entretenir et subitement nous rendons compte que le feu détruit tout,
définitivement.
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Fire always burns out.
En l'occurrence l'animé était endormi mais quelques caresses et le voilà qui ronronne à l'image…
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Anima was asleep
comes petting and starts purrrrrrr
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J'aimeÇa ne m'intéresse plus
"Donne moi l'Argent !"
Au Malawi et en Zambie, on dit "No Kwacha, no Ansa !"
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Gimi mani !
Pas mal son idée de faire le tour des banquiers pour façonner l'image que l'on se fait d'un concurrent.
La torpeur béate, très peu pour celui qui est au bout de la laisse. A tout moment, la folie peut s'incarner.
Quel Calvin es-tu ? Joli voyage dans son monde avec Pierre et Nicolas comme sherpas.
La photo produit du lien, comme dit Francis. Jette des ponts aussi. D'une rive à l'autre, you make my dream come true dear Claude.
les rayons doux du soleil la saisissaient dans sa marche le long de la barre grise des immeubles - DON'T COMPLAIN !
après la dernière maison il n'y avait plus rien - que le soleil brutal - OBEY !
les mots écrits tout en haut des immeubles, depuis des années, restaient dans sa mémoire, agissant silencieusement - SING !
SING AND FEEL HAPPY !
SING ! SING !
Saddhu me montrant ses pieds au bord du lac sacré. Il veut que je lui achète une paire de chaussures. Si l'on devait contenter tous les saddhus que l'on rencontre et qui vous demandent quelque chose, c'est pas un sac à dos qu'il nous faudrait trimballer, mais un porte-conteneur.
Ici, même les poissons mendient leur nourriture. C'est pas vendredi le jour du poisson, mais c'est tous les jours.
Les poissons du lac de Rewalsar sont aussi sacrés, on ne les pêche pas, mais on les nourrit. C'est un acte de foi (de morrue) et pas question de friture sur les menus des restaurants du village.
Une heure d'Internet coûte 30 roupies. Ici il vous faut 50 minutes pour vous connecter. Quand vous réussissez à ouvrir votre boîte émail, une panne d'électricité intervient. Mais Tso Pema est très gentil, alors on lui pardonne ces petits défauts… De vivre au pied d'un lac sacré vous rend patient et sage… même s'il m'a demandé les 30 roupies, alors que je n'ai pas pu me connecter avec la monde. IL aurait pu me faire un prix!!!
En novembre, la vallée de Spiti c'est vidé de ses touristes. Les monastères sont plus accueillants. Dans la cuisine de la gompa noirci par la fumée, les moines tibétains ont le temps de boire un thé au beurre de yak avec moi. L'estomac de celui qui a goute à ce breuvage se remettra difficilement de cette hospitalité..
Les paysans ont terminés de labourer leurs champs, ils attendent les premiers flocons de neige qui isolera la vallée durant quelques mois. Au loin, on aperçoit les silhouettes des troupeaux de yaks qui broutent les dernières touffes d'herbes sèches dans ce désert de pierres.
Je marche sur ces sentiers poussiéreux avec pour compagne la "Solitude", agréable et tellement belle….
Tsongkhapa (1357-1419) reforma le lamaisme tibétain au 14ème siècle. Il est le fondateur des Gelugpas, la Lignée des hommes vertueux, dont les moines prirent la coiffe jaune et devinrent dans le langage populaire la secte des Bonnets jaunes, dont le Dalaï Lama est le chef spirituel.
Le guide de cette ordre devint le chef spirituel et temporel du Tibet. Le troisième Guide reçut d'un roi mongol le titre de Dalaï Lama (Océan de Sagesse), titre qui fut attribué par la suite à ses successeurs. Chaque Dalaï Lama fut des lors considéré comme la réincarnation de son prédécesseur.
Tensing Gyatso, 14ème Dalaï Lama est le chef actuel du Gouvernement du Tibet. Il vit en exil depuis 1959 à Dharamsala dans le Nord de l'Inde, sur les premiers contreforts de la chaîne himalayenne.
Le Spiti est une zone de haute montagne et de vallées glaciaires. Cette région ne reçois, du fait de l'Himalaya, que peu de pluie. Il s'y est donc formé un désert d'altitude.
Rudyard Kipling fit le commentaire suivant sur le Spiti: " Ce sont les dieux, sans doute qui vivent ici; il n'y a pas de place pour les hommes."
Le village de Kibber, qui participait jadis au commerce international du sel, jouit d'une situation impressionnante et sauvage. Installé à une altitude de 4205m., il se targuait autrefois d'être le plus haut village du monde, mais se contente aujourd'hui de se qualifier de "village le plus haut du monde doté d'une route carrossable et d'électricité".
Fatigué…
Un soir de novembre…
Sortie de travail…
Attente sur un quai de gare !
Un train passe…
Attente encore …
…quelque chose qui donnerait un sens à la vie ;
il'attendait comme quand on pose une question et qu'on attend que quelqu'un réponde, mais on ne pose pas la bonne question, ou bien on ne la pose pas à la bonne personne, et la réponse ne vient pas ?
La suprématie du rouge s'est imposée à tous …!
Comme toujours, tous les vendredi depuis le 6 mars dernier, avec le temps qui passe.
Où, à la surface de la mer, se situe la frontière de la tempête, à quelle profondeur l'eau cesse d'être une vague, à quelle hauteur le vent ne fait plus aucun bruit?
Les choses bien rangées, bien ordonnées, ne disent rien de ce qu'elles abandonnent à l'espace, à la dérive, au chaos, à la solitude, à la mort, comme les feux le long du détroit de Magellan taisaient les fatals hauts-fonds aux marins confiants.
Les roadies qui disent un-deux-trois dans les micros avant le show aimeraient souvent tester aussi les projecteurs!
Quand les flashes partent, ce n'est pas toujours la lumière qui surgit ou les plombs qui pètent.
Cette nuit, formation du brouillard en plaine et quelques voiles nuageux et plus tard brouillard jusque vers ta cuisine, puis dissipation en grande partie l'après-midi. Sinon temps assez ensoleillé malgré des passages nuageux et la bise à ton lac et neige chez Michel Comte!
J'ai envie d'y rêver, j'ai envie d'y voler.
C'est apparemment sur cette petite place que pour la première fois on a joué au football sur le sol Portugais.
On a les commémorations qu'on peut…
Fauteuil d'observation artisanal embrassant la vallée de Sao Roque do Faial…
À la banque du Saint-Esprit, le Saint-Père touche le Multibanco.
Un œil sur la Messe, l'autre sur la Bourse, il serait vraiment fou d'en attendre des miracles…
Un dernier regard nostalgique aux îles Desertas avant le retour au bercail surpeuplé…
La première fois que je l'ai vu, il m'a surpris. Je pianotais sur mon téléphone mobile dans l'embouteillage endémique à la sortie du périphérique Porte de Gentilly, lorsque qu'il frappa brutalement à ma glace.
Il était grand et son visage peu avenant ébaucha un rictus quand il me fit signe d'un mouvement circulaire de la main de descendre ma vitre. J'obtempérais, sans pour autant lui révéler qu'une commande électrique avait depuis bien longtemps remplacé la manivelle installée naguère sur la portière des automobiles.
Je l'imaginais flic, agent du fisc, huissier de justice, ou pire entraîneur de football, mais c'est lorsque qu'il frotta mécaniquement son pouce contre son index que je compris enfin qu'il faisait la manche, dans un style particulier à la fois rustique et rugueux.
J'eus une sueur froide en songeant que je n'avais pas le moindre centime sur moi et courageusement je lui en fis la confidence avec toutes les excuses de circonstance.
Il prit ma courtoise réponse comme une offense impardonnable faite à la classe ouvrière dans son ensemble et au lumpen-prolétariat en particulier et, ravalant difficilement son dépit, il me jeta un postillonnant “et une cigarette ?”… Je m'en voulu d'avoir arrêté de fumer quelques mois auparavant pour de stupides considérations de santé et je dus lui avouer également mon plus total dénuement en la matière.
Il s'éloigna alors lourdement dans un borborygme digestif des Carpates pour aller tenter sa chance auprès d'autres automobilistes qui sagement patientaient en observant la scène à l'arrière.
La vie me paru tout d'un coup à la fois sotte, vaine et saugrenue, et il n'y eut guère qu'un frémissement de démarrage devant moi pour me sortir de ma pensive désespérance…
«comme l'eau le monde coule à
travers toi et pour un temps te
pénètre de ses couleurs.
Ensuite il se retire et te laisse encore
seul avec ce vide que tu portes en toi»
Nicolas Bouvier
"j'ai vu ton nom sur le programme et je ne savais pas pourquoi….étais-tu là ?"
"J'ai trouvé l'association que je connaissais de nom de grande qualité…..et la soirée…sérieuse mais adaptée aux circonstances….le speech de Halperrin le comble du top. ! le président aussi…la femme du Burundi magnifique…elle était ma voisine…, le birman…très émouvant…bref…une vraie soirée de charité sans aucun bling bling…."
"C'est la question que pose La fin de la Pauvreté? documentaire de Philippe Diaz que Cargo Films distribue.
Des favelas d'Amérique Latine aux bidonville d'Afrique, des économistes de renom, des personnalités politiques et des acteurs sociaux révèlent comment les pays développés pillent la Planète ; un saccage qui menace ses capacités à soutenir la vie et accroît toujours plus la pauvreté.
Ce film démontre comment, depuis cinq siècles, le Sud finance le Nord, d'abord à travers les conquêtes, puis ensuite par le truchement de certaines de nos institutions internationales, en appliquant certains modèles économiques et enfin, il souligne le rôle prédominant de Wall-Street.
La Fin de la Pauvreté? offre une contribution éclairée et intelligente à la compréhension des mécanismes qui pérennisent la pauvreté dans le monde.
25% de la population mondiale consomment 85% des richesses.
Nous sommes six milliards d'humains sur terre, un milliard de personnes ont faim tous les jours…
dont 300 millions d'enfants.
En 2030 nous serons 9 milliards, peut-on ignorer encore la Pauvreté?
Toutes les 3 secondes, une personne meurt de faim, en majorité les enfants de moins de 5 ans" www.cargofilms.com
«Une société qui ne met pas le respect de toute vie, au premier plan; doit nécessairement périr. » (Abert Einstein)