Marina a bien raison d'aller chatouiller là où ça gratte - la publication sur écran en résolution minuscule ne lèse en rien l'auteure Carina - au contraire ça embarque l'oeuvre dans le tourbillon social, comme sur une place de village
si ça gratte tant c'est bien que l'obsession de la propriété privée atteint des niveaux d'hystérie et de destruction sociale jamais vus et que ça devient l'ennemi numéro un de toute vie en collectivité