Réminiscence
Je n'ai jamais pu, sous les arbres remarquablement en fleurs du parc Maruyama, autour du temple Chion-in, à Kyoto, à deux pas du vieux quartier des geishas, avaler un deuxième morceau d'une espèce de calamar frit dans une huile dont je préfère encore aujourd'hui ignorer la provenance, comme ses multiples usages, et qui m'avait immédiatement renvoyé à l'idée qu'on ait pu me confondre avec un moteur, ou au minimum avecun simple rouage d'une société qu'il fallait, sinon entretenir, du moins lubrifier.