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La semaine uneparjour... 27 novembre 2025
- productions uneparjour
Le monde est un désordre
Une illusion
Une apparence
Un trompe-l'œil
Qui
Dans un aiguillage imprudent
Peut-être dans la fatigue d'un sourire
A ouvert la brèche
Un accroc dans un horizon vert
Qui
A laisser la brûlure envahir le foyer
Le germe de la discorde se diffusant par vague
Pour échapper à la brûlure d'un vice
Attentif à la séquence lumineuse
Morcelé dans sa lecture
Le cobaye cède la place
Au balancement des épineux
Sur fond de nuage opaque
Les minutes s'exposent au drap de ce ciel
Dans la préoccupation d'un jour qui finit
Les épreuves à venir
Ne seront que les symétries
Des postures de façade
Déloyale dans sa mobilité
Les vents sans secousse basculent
Abandonné aux embruns qui dévalent
Les corps dorés fuient le quotidien des cités
Hasardeux
Pour s'oublier dans la contemplation
Invisible pèche flamboyante
Les filets remplis d'embruns
Ils se méfient des gens de la terre
Car ils sont sans frontières
Juste des épidermes
Marabouté dans les gencives
Sans embrasser les appréhensions
Le réveil des inconnus berce les troupes
Déjà engagés dans la fuite fascinante
Répétition du motif qui dérange
Installation et décryptage de l'ambiance
Le mélange capitale vibrant
A l'oreille des plus téméraires
Les fidèles se décharge sous la pluie
Acceptant la dissonance sans effort
L'ampleur se manifeste
Sous l'emprise de la hauteur
Dans les vus sans vis-à-vis
L'horizon se dégage
Ouverture sur les ports qui suintent
Comme si les visages étaient lisses
Radieux comme sous la montagne
Incarnés des petits pas qui comptent
Réhabilités dans les bouches qui dégustent
Les reflets des âmes
Ont quitté la partie
Sans tricher
L'habitude des images sauvages
Assouvis dans le chemin des fantasmes
L'expérience syncopée des Balkans
N'à porter que le mystère des affluences méritées
Sans raison
Les présages de l'express du Danube
Séduit de la gastronomie anxieuse
Toujours méfiant au décollage des modules
Les corps nus dans l'ébriété des consciences
S'écartent à l'unisson
Les lichens poussent sur toutes sortes de surfaces. Les substrats les plus courants sont l'écorce, le bois mort, la terre et la roche. Ici, comme vous pouvez le constater, si vous regardez bien, sinon prenez vos lunettes, ils poussent sur l'écorce d'un chêne !
Leica tour Lyon
Shooting de studio sous la houlette de la photographe canadienne Kourtney Roy
C'est sympa l'automne, on peut se baigner dans les feuilles
Ici Malo est à la manoeuvre et il s'éclate ! Viviers. Ardèche. Photo de rue
