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La semaine uneparjour... 11 septembre 2025

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Quand déambulations à Arles et visions des expositions se mélanges en tête

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Derniers jours du séjour, en pension complète, de Kiwi la rebelle

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Aïe, ça coince

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Portrait de rue d'inconnus

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Annonce de l'automne qui sera bientôt là

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Mini reportage sur la manifestation pacifique de contestation du 10 septembre 2025

Première expérience d'un dérapage policier conforté par une orientation politique du moment...

Avec contrôle d'identité arbitraire et donc illégal motivé par la prise de photo des policiers sur la voie publique, accompagné d'un fouille au corps et de mon sac !
le tout filmé partiellement avec mon téléphone portable et diffusé dans la foulée sur facebook

Quand une commandante de police perd le contrôle de la situation sur une prise licite de photographies et qu'elle ne voit pour seule issue que l'abus de pouvoir. Désolant !

Il a été également mis en avant le caractère illicite du numéro d'identification effacé de son subalterne charge de la fouille et donc se plaçant en illégalité devant la Loi.

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Des crocus qui fleurissent en septembre !!

D'habitude c'est entre février et avril et là on a 2 fleuraisons. Le monde est fou.

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Au milieu de la nuit.

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les sentinelles de Sheelinda Rabate, dans le bureau de l'ancien commissaire de police.

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Un bal"populaire" se prépare.

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certains ont fêté le départ d'un certain Bayrou !!

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on a beau manifester, rien ne bouge...

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Demain vernissage d'une importante exposition internationale, en présence d'un talentueux photographe plasticien finlandais : Harri Larjosto.

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Zone d'ombre Lessivé par la fabrique Les consentements de pacotille Déciment les convictions L'étrange gravité nous fauche et nous liquéfie La poussière de l'agression convoque les opportunismes Les certitudes convergent dans le vide L'isolement reste l'option de réserve solide Les cafards s'évaporent dans les coïncidences Noyées dans une matrice complexe et insoluble Sans oublier que nos corps sont des consciences infinies

Fissure de l'esprit Ils ont assiégé l'empire sauvage De leurs gestes désinvoltes Comme si rien ne comptait Les aveux sont incontinents Planqués dans les ombres Épanouis par la clarté de l'aube Les palissades masquent les horizons sauvages Privé de la vue Ils inventent un monde in situ Enragés dans la folie d'un espace confiné Les repères prennent la fuite Le décalage grotesque impose La chute dans l'absurdité partisane Le futur est dans les plies

J'ai suivi la trace Possédé par l'attirance de tenir le cap J'avais perdu la raison dans cette immensité d'arbre Je sentais la cohérence de l'invasion des poussières Des lichens dorés me montraient le passage Émergeait une signalétique évidente Je sentais les odeurs comme autant de reliefs inhibés Qui traversaient un paysage amical Perdu dans l'inconnu mais amplement consolé La forêt fleurissait dans un consensus singulier Malgré la délivrance légitime de ce brouillard constant Dans un accès léthargique complice Je restais ignorant de l'ère du temps Et je dansais sous la pluie Dans les plis de la trace humide Au mépris de l'innocente fureur de la forêt

Somnambule Je regarde le noir Avec un mépris concerté Je m'avise à la dilution du sensible Cristallisé dans la glace Il affaiblit les disciples Affranchi des contentieux Je reste visible dans les couloirs L'arsenal de la répression est en route Culture sauvage calcinée dans les mondanités Danser dans les cendres pour redonner du souffle L'ignorant condamnant sans penser Ne fait que précipiter sa chute Creusant sont tombeau de verre Indifférent du vide qui l'accapare

Je reviens Décadent de la visite des ilots suspendus Emplis de soif de désordre Satisfait du déclin des ahuris Je sabote les trajectoires dominées Hors sujet de la consigne Les bâtisseurs tourmentés s'indignent Les jours de raison sont à présent comptaient Narcissisme débridé On s'exfiltre de la kill zone

Avortons déconnectés aux lueurs maussades Anecdotique d'une mésaventure J'écoute l'écho de la corniche Embarqué dans la désespérance lucide d'un voyage L'étoile dégénérée me fait pâlir Comment sortir de soi au combat des évidences En cherchant le spectateur averti qui assimile ses angoisses Victime d'une défaillance d'une mémoire désordonnée Je nourris les cafards en sommeil Attentif au moindre bruit Pour être sûr de ne rien manquer

Partisan de l'inattendu Militant de l'espoir Attentif à la brèche La fracture qui pourrait altérer L'inconfort agité des disciples dociles L'habit qui normalise et attenu la foule Dans les reliefs blancs et vaporeux Les victimes de dissociation ignorant l'extérieur Son piégés de leur domestique confisqué L'empire échappant aux indices brulants Les nuées drosophiles pollinisent l'épaisseur Méfiant des aléas L'éclipse de la lune sang rétablit l'équilibre La symphonie du vert supprimera les écueils


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Zone d'ombre
Lessivé par la fabrique
Les consentements de pacotille
Déciment les convictions
L'étrange gravité nous fauche et nous liquéfie
La poussière de l'agression convoque les opportunismes
Les certitudes convergent dans le vide
L'isolement reste l'option de réserve solide
Les cafards s'évaporent dans les coïncidences
Noyées dans une matrice complexe et insoluble
Sans oublier que nos corps sont des consciences infinies

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Fissure de l'esprit
Ils ont assiégé l'empire sauvage
De leurs gestes désinvoltes
Comme si rien ne comptait
Les aveux sont incontinents
Planqués dans les ombres
Épanouis par la clarté de l'aube
Les palissades masquent les horizons sauvages
Privé de la vue
Ils inventent un monde in situ
Enragés dans la folie d'un espace confiné
Les repères prennent la fuite
Le décalage grotesque impose
La chute dans l'absurdité partisane
Le futur est dans les plies

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J'ai suivi la trace
Possédé par l'attirance de tenir le cap
J'avais perdu la raison dans cette immensité d'arbre
Je sentais la cohérence de l'invasion des poussières
Des lichens dorés me montraient le passage
Émergeait une signalétique évidente
Je sentais les odeurs comme autant de reliefs inhibés
Qui traversaient un paysage amical
Perdu dans l'inconnu mais amplement consolé
La forêt fleurissait dans un consensus singulier
Malgré la délivrance légitime de ce brouillard constant
Dans un accès léthargique complice
Je restais ignorant de l'ère du temps
Et je dansais sous la pluie
Dans les plis de la trace humide
Au mépris de l'innocente fureur de la forêt

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Somnambule
Je regarde le noir
Avec un mépris concerté
Je m'avise à la dilution du sensible
Cristallisé dans la glace
Il affaiblit les disciples
Affranchi des contentieux
Je reste visible dans les couloirs
L'arsenal de la répression est en route
Culture sauvage calcinée dans les mondanités
Danser dans les cendres pour redonner du souffle
L'ignorant condamnant sans penser
Ne fait que précipiter sa chute
Creusant sont tombeau de verre
Indifférent du vide qui l'accapare

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Je reviens
Décadent de la visite des ilots suspendus
Emplis de soif de désordre
Satisfait du déclin des ahuris
Je sabote les trajectoires dominées
Hors sujet de la consigne
Les bâtisseurs tourmentés s'indignent
Les jours de raison sont à présent comptaient
Narcissisme débridé
On s'exfiltre de la kill zone

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Avortons déconnectés aux lueurs maussades
Anecdotique d'une mésaventure
J'écoute l'écho de la corniche
Embarqué dans la désespérance lucide d'un voyage
L'étoile dégénérée me fait pâlir
Comment sortir de soi au combat des évidences
En cherchant le spectateur averti qui assimile ses angoisses
Victime d'une défaillance d'une mémoire désordonnée
Je nourris les cafards en sommeil
Attentif au moindre bruit
Pour être sûr de ne rien manquer

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Partisan de l'inattendu
Militant de l'espoir
Attentif à la brèche
La fracture qui pourrait altérer
L'inconfort agité des disciples dociles
L'habit qui normalise et attenu la foule
Dans les reliefs blancs et vaporeux
Les victimes de dissociation ignorant l'extérieur
Son piégés de leur domestique confisqué
L'empire échappant aux indices brulants
Les nuées drosophiles pollinisent l'épaisseur
Méfiant des aléas
L'éclipse de la lune sang rétablit l'équilibre
La symphonie du vert supprimera les écueils

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Les vacances sont bientôt terminées pour les vaches de l'alpage de la Lée

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Le Besso et la Navizence

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Un petit zoiseau

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Donald Trump demande des dons de 15 dollars pour « essayer d'aller au paradis ». Mais il pourrait bien revoir son copain Epstein en enfer.

« L'année dernière, j'ai frôlé la mort lorsque cette balle m'a transpercé la peau. Mon retour triomphal à la Maison Blanche n'aurait jamais dû avoir lieu ! Mais je crois que Dieu m'a sauvé pour une raison : RENDRE L'AMÉRIQUE GRANDE À NOUVEAU ! Je n'étais certainement pas censé survivre à la balle d'un assassin, mais par la grâce de Dieu tout-puissant, j'y suis parvenu. Alors maintenant, je n'ai d'autre choix que de répondre à l'appel du devoir, mais je ne peux pas le faire seul ».

Donald Trump, qui se dit doté d'une mission divine, demande à ses partisans de réaliser un don de 15 dollars pour qu'il puisse « essayer d'aller au paradis.

Alfred Capus a écrit : « Le monde n'est pas gouverné par des imbéciles, mais il n'y a que les imbéciles qui se flattent de pouvoir le gouverner ». Il est à noter que, si nous sommes le résultat de la volonté de Dieu, le QI du Créateur est inférieur à celui de l'australopithèque !

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Col du Grand-Saint-Bernard (2469 m.)

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Promenade des célèbres chiens du Grand-Saint-Bernard

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Piamprato - Vallée de Soana

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