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			ramassage d une canette, jetée en pleine nature.
il y a de quoi faire la grimace.
 
			
			
			
			
			
			
			
		 
			
			
			
			
			
			
			
		 
			
			
			
			
			
			
			
		 
			
			Je suis intrigué par cette photo parue sur You Tube la semaine passée concernant les incidents de Portland où manifestants pacifiques ont été gazés par les agents de l'ICE. Lors du visionnage de ce reportage je suis tombé sur  ce mec qui prenait des photos des manifestants avec un gilet de l'ICE et une croix suisse sur une poche de sa veste. Il était posté sur le toit du quartier général de l'ICE à Portland. 
Est-ce un photographe d'un journal suisse ?
Qui est ce type ?
Qu'est-ce qu'il fout sur le toit du quartier générale de l'ICE ?
Pourquoi porte-t-il un gilet de l'ICE et une croix suisse ?
Est-ce que des Suisses sont en train de merdouiller avec ces nazillons ?
Est-ce que quelqu'un sur uneparjour.org à une réponse ?
 
			Noircir les écrans 
Futile occupation 
Fragile émotion que d'être présent
Devant la mélancolie des espaces à remplir 
On capitule lamentablement
Éhonté devant le vide 
Je survole l'indicible
Emprunte le mot sans virgule et sans point
Pour signaler la brèche sans couleur
Méfiance sur l'analyse 
Émetteur de mouvance sans querelle 
On se recueille à la vibration 
Dans l'apaisement des grillons sanguinaires
Exister plus fort 
C'est peut-être perdre les pédales
Secouer les atomes du concret
Contre les vents monotones
La vie s'épaissit
Quand l'esprit se retranche 
Explore au voisinage 
Alors l'insolence des fêlures
Amorce les excès d'ivresse
Dans l'élégance du royaume 
Les faux serments font légion
Observé par la lune 
Les torchères insolentes 
Font face aux corbeaux chanceux 
On reviendra cueillir les émeraudes 
Dans la cour des miracles des peuples en ruine
Les tribus solidaires 
Sous l'emprise des manipulations fortuites 
Recalé par l'innocence des nuisibles 
Dans l'hécatombe d'une ville endormie
Inclusif dans sa proposition 
On arrache le pouvoir aux corps tristes
Mais c'est dans le scintillement de vie que fomente la résistance
Les polinisateurs au fantasme du solaire 
S'éveillent aux compromis fantasques
Ils s'immergent dans la finesse des rosiers
Sur les sentiers de Téhéran
Privé de gesticulation 
Les automates piétinent le pavé
Dans la répétition des constats inutiles
Harponnés des apparats de façade 
Séduit de la surface 
Les averses ont desséché les champs autrefois fertiles
L'œil sombre de Jérusalem affaiblit la lumière
L'ouest s'enlise
Toxique 
Apnée dans l'air vicié  
Comme si la paresse sauvait le monde
La sédation oubliant les jours d'avant 
Les espoirs fragiles sont précieux
En catimini la marée monte 
Les coquilles inconscientes 
Embarque à la pénombre de ceux qui penchent
Quand la foudre s'abat sur la pelouse 
La métaphore des naïfs agonise 
Les gens du sous-sol 
Imbibés de l'odeur des pauvres
Fidèles à la complainte des rats
Rincés des mauvais temps
Ils descendent et tentent de forcer l'oubli
Inondés
Trahis par les pierres sans âge
Ils rejoignent la fête clandestine
Plongés dans l'obscurité 
Les indociles se vautrent dans l'épaisseur des vides
Déclinent l'invitation conforme
Libre d'être léger
Je flotte à l'idée de percevoir juste 
Quand les mondes se bousculent
L'imprégnation des corps fétides 
Affecte le consensus 
Un mépris sous les nuages se consume  
On cavale à vouloir s'y extirper
Dans le visqueux d'une abondance
Les aristos se déchainent 
Il est encore temps de se goinfrer
A l'abris du choc frontal
Tension d'un jeu de dupe
Compte à rebours sur Téhéran
Suit la lumière verte  
Les reflets du lac te le rendront
Les quartiers se brisent 
Asphyxié de la diplomatie du commun
 
			
			
			
			
			
			
			
		 
			
			
			
			
			
			