216.73.216.169--0.0.0.216GE
			Campo san Vio : la Tour d'Or de James Lee Byars. Irruption de la richesse triomphante.
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			Les arbres de ce pays
passent par le feu
leurs graines éclatent 
et ensemencent le ciel
C.S.
L'oubli du corps enfui
Détraque le bruit 
de la pendule
Apporte le souci 
au bruit de tes pas
Autant d'alcool 
et si peu de vie
Fouette l'angoisse 
veines bleuies
Les âmes rient
La colonne de lumière
a avalé l'homme enchâssé
dans le tragique de sa quête
Le tango vibre ses cercles
entre pensée et baiser
rien ne se conjoint
et tout se délie
attache-moi
			
			Au pied levé
Pointe vers le ciel
 Elle aprivoise l'Espace
 Sur un parquet flottant
Que faire des heures 
D'avant l'hiver?
 Par pieds et mains
 Boire nue toute la Mer!
Noyer mes sandales émue
Dans la tiedeur du marais
Rire nue jusqu'à la moelle
 Etincelle des nacres
La pluie avait tout dilué 
 Le temps n'allait jamais reculer
 Tout s'effacerait
 Sauf les cicatrices.
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			entre le petit air de vérité que se donnait l'image du monde devant ses yeux...
et la pluie de petits éclats d'événements qui la frappaient de plein fouet...
elle ne savait décider lequel était un masque vain et mensonger
alors... avec lequel fallait-il lier son désir et son destin ?
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			
		
			
			
			
			
			
			
			
		