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HARI ÔM INDIA - 53 - 1 mai, fête des travailleurs confinés

LE SERMON DE LA MONTAGNE 

 

Il serait bon en ces temps perturbés de revoir un peu nos manuels de sagesse et peut-être se dire que si on avait écouté les messagers qui sont venus nous instruire on n'en serait peut-être pas là où on se trouve aujourd'hui. Vivre au bord d'un fleuve sacré durant 40 jours, vous donne quelques idées mystiques ; le confinement sert aussi à méditer sur sa condition de pauvre pêcheur. Naturellement si nous voulons entrevoir un peu de Vérité, il faut s'écarter, fuir, éviter d'avoir foi en une théologie qui est un outrage pour la raison et le sens moral. L'Eglise a imposé une Bible dont Jésus fut lui-même à enfreindre les lois dont il rejetait l'enseignement de fond en comble ; crimes pour lesquels il fut finalement crucifié, et depuis, les os des morts ont étouffé l'esprit de Vérité 

 

Jésus chercha à faire pénétrer dans l'âme de ses auditeurs l'amour de l'humanité. Il bénissait les pauvres d'esprit, les humbles, ceux qui ont faim et soif de Justice, las pacifiques et les bienveillants, et aujourd'hui il aurait certainement protesté avec les gilets jaunes et, ainsi que le Bouddha il ne laissait que peu d'espoir aux castes orgueilleuses d'entrer dans le royaume des cieux. Si nous désirons connaître le Jésus historique que l'Eglise nous a imposé et inventé, il faut laisser complètement de côté le Christ mythique. 

Dans son immense amour désintéressé pour l'humanité, il estimait qu'il était injuste de priver la grande masse des résultats de la connaissance que le petit nombre avait acquise. Il prêcha par conséquent, ce résultat – L'UNITÉ D'UN DIEU SPIRITUEL, DONT LE TEMPLE RÉSIDE EN CHACUN DE NOUS. 

 

« Perds les croyances qui divisent 

Gardes celles qui divinisent 

Le plus grand dogme est erroné 

Qu'on prône sans le rayonner »

[Jean-Louis Claude]

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