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HARI ÔM INDIA - 40 -28ème jour de confinement au bord du Gange

LE PANGOLINGATE (2ème épisode) 

 

On ne savait encore pratiquement rien sur ce Covid-19, en tout cas rien d'officiel, que déjà les autorités de la République impopulaire de Chine accusaient déjà le PANGOLIN, ce pauvre petit mammifère, d'être le responsable de cette terrible épidémie 

 

Les pangolins vivent dans des arbres creux ou des terriers, selon l'espèce. Les pangolins sont nocturnes, et leur alimentation se compose principalement de fourmis et de termites, qu'ils capturent en utilisant leurs longues langues. Ils ont tendance à être des animaux solitaires, ne rencontrant leur partenaire qu'après un speak dating animée par Karine Le Marchand que pour s'accoupler et produire une portée d'une à trois descendants, qu'ils élèvent pendant environ deux ans. 

Les pangolins sont menacés par la déforestation et le braconnage pour leur viande et leurs écailles qui sont utilisées en médecine traditionnelle chinoise pour une variété de maladies, y compris l'anxiété excessive et les pleurs hystériques chez les enfants, la surdité et les femmes que l'on pense être possédées par les diables et les ogres. (C'est les chinois que le disent) 

Une équipe de scientifiques chinois a suspecté le pangolin d'être un hôte intermédiaire entre les chauves-souris et l'humain. En effet, ces chercheurs auraient isolé un virus à partir de ces mammifères, dont la séquence génétique est à 99 % similaire à celle du coronavirus SARS-CoV-2. Une information largement reprise par les médias du monde entier qu'il faut prendre avec des pincettes, car tout ce qui vient de la soupe populaire chinoise il faut s'en méfier. Pour transmettre un coronavirus, les contacts entre les individus doivent être rapprochés. Les pangolins vivent dans la forêt et n'ont pas tendance à s'approcher des humains. Dans ces conditions, pourquoi les suspecter ? 

 

Mais tout simplement pour cacher une réalité qui, si on y prête attention fait froid dans le dos et nous entraîne dans des histoires qui nous donnent le vertige. Et dans ces histoires il est difficile de démêler le vrai du faux, donc des histoires à nous donner des sueurs froides car si ce que l'on découvre est la vérité, alors des jours sombres nous attendent. Comme nous sommes des peuples de moutons, il n'est pas difficile de voir où ces ordures nous entraînent. Mais alors, qui sont ces ordures et que veulent-ils exactement ? 

 

En 2017, à Wuhan, un laboratoire étudiait déjà les coronavirus chez les chauves-souris. Le coronavirus n'était pas sur les marchés de la ville, mais bien dans le labo P4, un laboratoire de recherche bactériologique conçu avec l'aide de la France perfide, pays des abus des droits de l'homme. 

 

(Á SUIVRE)

[Jean-Louis Claude]

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