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La semaine uneparjour... 08 septembre 2025

ma 02.09.2025
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Coucou Michel ! Tu m'a fait peur, Yves

Rencontres de la photo Arles 2025 J 1

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Tu vois rouge ?

Rencontres de la photo Arles 2025 J2

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Résistance, contestation, Jeu ou humour ?

Rencontres de la photo, Arles 2025, J 3

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Quand déambulations à Arles et visions des expositions se mélanges en tête

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Derniers jours du séjour, en pension complète, de Kiwi la rebelle

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Aïe, ça coince

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Portrait de rue d'inconnus

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Lit habitation de Benoît Piéron.

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Solitude marine...

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Toujours lever les yeux.

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Au milieu de la nuit.

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les sentinelles de Sheelinda Rabate, dans le bureau de l'ancien commissaire de police.

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Un bal"populaire" se prépare.

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Ce sont les ogres Au contrôle de la cadence Ils s'empiffrent Ils pillent Ils se goinfrent sur le dos de la bête Mais quand le sol se dérobe Que les fissures s'organisent Les rats quitteront le navire

Filature de carton Arrêt sur la corniche Dans la précipitation d'un retard On cherche Sextant qui délire Il donne le cap Dans la clairvoyance d'un jeu de fantôme Brûlés dans des oublis de faiblesse Nos corps sont des champs de bataille Les ambitions sont pourtant courtes et légères Nous restons présents

A la faveur d'un printemps qui décapite Les fossoyeurs ont perdu leurs visages La folie des cyclopes a pardonné les usages Mais comment fera-t-on quand les trous noirs seront vaincus Nous nous fierons aux renards devenus cinglés Nous contemplerons le désordre Après la réhabilitation Le glissement de la tempête Et les paysages distribués au plus offrant Les militants de l'ombre sont des voyants Des oracles des temps nouveaux

Zone d'ombre Lessivé par la fabrique Les consentements de pacotille Déciment les convictions L'étrange gravité nous fauche et nous liquéfie La poussière de l'agression convoque les opportunismes Les certitudes convergent dans le vide L'isolement reste l'option de réserve solide Les cafards s'évaporent dans les coïncidences Noyées dans une matrice complexe et insoluble Sans oublier que nos corps sont des consciences infinies

Fissure de l'esprit Ils ont assiégé l'empire sauvage De leurs gestes désinvoltes Comme si rien ne comptait Les aveux sont incontinents Planqués dans les ombres Épanouis par la clarté de l'aube Les palissades masquent les horizons sauvages Privé de la vue Ils inventent un monde in situ Enragés dans la folie d'un espace confiné Les repères prennent la fuite Le décalage grotesque impose La chute dans l'absurdité partisane Le futur est dans les plies

J'ai suivi la trace Possédé par l'attirance de tenir le cap J'avais perdu la raison dans cette immensité d'arbre Je sentais la cohérence de l'invasion des poussières Des lichens dorés me montraient le passage Émergeait une signalétique évidente Je sentais les odeurs comme autant de reliefs inhibés Qui traversaient un paysage amical Perdu dans l'inconnu mais amplement consolé La forêt fleurissait dans un consensus singulier Malgré la délivrance légitime de ce brouillard constant Dans un accès léthargique complice Je restais ignorant de l'ère du temps Et je dansais sous la pluie Dans les plis de la trace humide Au mépris de l'innocente fureur de la forêt

Somnambule Je regarde le noir Avec un mépris concerté Je m'avise à la dilution du sensible Cristallisé dans la glace Il affaiblit les disciples Affranchi des contentieux Je reste visible dans les couloirs L'arsenal de la répression est en route Culture sauvage calcinée dans les mondanités Danser dans les cendres pour redonner du souffle L'ignorant condamnant sans penser Ne fait que précipiter sa chute Creusant sont tombeau de verre Indifférent du vide qui l'accapare


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Ce sont les ogres
Au contrôle de la cadence
Ils s'empiffrent
Ils pillent
Ils se goinfrent sur le dos de la bête
Mais quand le sol se dérobe
Que les fissures s'organisent
Les rats quitteront le navire

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Filature de carton
Arrêt sur la corniche
Dans la précipitation d'un retard
On cherche
Sextant qui délire
Il donne le cap
Dans la clairvoyance d'un jeu de fantôme
Brûlés dans des oublis de faiblesse
Nos corps sont des champs de bataille
Les ambitions sont pourtant courtes et légères
Nous restons présents

X

A la faveur d'un printemps qui décapite
Les fossoyeurs ont perdu leurs visages
La folie des cyclopes a pardonné les usages
Mais comment fera-t-on quand les trous noirs seront vaincus
Nous nous fierons aux renards devenus cinglés
Nous contemplerons le désordre
Après la réhabilitation
Le glissement de la tempête
Et les paysages distribués au plus offrant
Les militants de l'ombre sont des voyants
Des oracles des temps nouveaux

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Zone d'ombre
Lessivé par la fabrique
Les consentements de pacotille
Déciment les convictions
L'étrange gravité nous fauche et nous liquéfie
La poussière de l'agression convoque les opportunismes
Les certitudes convergent dans le vide
L'isolement reste l'option de réserve solide
Les cafards s'évaporent dans les coïncidences
Noyées dans une matrice complexe et insoluble
Sans oublier que nos corps sont des consciences infinies

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Fissure de l'esprit
Ils ont assiégé l'empire sauvage
De leurs gestes désinvoltes
Comme si rien ne comptait
Les aveux sont incontinents
Planqués dans les ombres
Épanouis par la clarté de l'aube
Les palissades masquent les horizons sauvages
Privé de la vue
Ils inventent un monde in situ
Enragés dans la folie d'un espace confiné
Les repères prennent la fuite
Le décalage grotesque impose
La chute dans l'absurdité partisane
Le futur est dans les plies

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J'ai suivi la trace
Possédé par l'attirance de tenir le cap
J'avais perdu la raison dans cette immensité d'arbre
Je sentais la cohérence de l'invasion des poussières
Des lichens dorés me montraient le passage
Émergeait une signalétique évidente
Je sentais les odeurs comme autant de reliefs inhibés
Qui traversaient un paysage amical
Perdu dans l'inconnu mais amplement consolé
La forêt fleurissait dans un consensus singulier
Malgré la délivrance légitime de ce brouillard constant
Dans un accès léthargique complice
Je restais ignorant de l'ère du temps
Et je dansais sous la pluie
Dans les plis de la trace humide
Au mépris de l'innocente fureur de la forêt

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Somnambule
Je regarde le noir
Avec un mépris concerté
Je m'avise à la dilution du sensible
Cristallisé dans la glace
Il affaiblit les disciples
Affranchi des contentieux
Je reste visible dans les couloirs
L'arsenal de la répression est en route
Culture sauvage calcinée dans les mondanités
Danser dans les cendres pour redonner du souffle
L'ignorant condamnant sans penser
Ne fait que précipiter sa chute
Creusant sont tombeau de verre
Indifférent du vide qui l'accapare

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Zinal - Le Trail du Besso

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Certains préparent déjà la saison de hockey !

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Journée pluvieuse

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Les vacances sont bientôt terminées pour les vaches de l'alpage de la Lée

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Le Besso et la Navizence

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Un petit zoiseau

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Donald Trump demande des dons de 15 dollars pour « essayer d'aller au paradis ». Mais il pourrait bien revoir son copain Epstein en enfer.

« L'année dernière, j'ai frôlé la mort lorsque cette balle m'a transpercé la peau. Mon retour triomphal à la Maison Blanche n'aurait jamais dû avoir lieu ! Mais je crois que Dieu m'a sauvé pour une raison : RENDRE L'AMÉRIQUE GRANDE À NOUVEAU ! Je n'étais certainement pas censé survivre à la balle d'un assassin, mais par la grâce de Dieu tout-puissant, j'y suis parvenu. Alors maintenant, je n'ai d'autre choix que de répondre à l'appel du devoir, mais je ne peux pas le faire seul ».

Donald Trump, qui se dit doté d'une mission divine, demande à ses partisans de réaliser un don de 15 dollars pour qu'il puisse « essayer d'aller au paradis.

Alfred Capus a écrit : « Le monde n'est pas gouverné par des imbéciles, mais il n'y a que les imbéciles qui se flattent de pouvoir le gouverner ». Il est à noter que, si nous sommes le résultat de la volonté de Dieu, le QI du Créateur est inférieur à celui de l'australopithèque !

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