Un trou dans les nuages. Chanson de Michel Rivard qui me trotte dans la tête. Pour l'entendre : http://youtu.be/azh9HDf0vqc
Londres
A la virtualité de la vidéoconférence,préférer la réalité des image. Bonheur du photographe
Londres
La mienne d'angoisse, prend forme avec le retard des photos à charger sur upj
Londres
The one and only ! A quelques jours de ses 70 ans, Mick Jagger chante son énergie
Londres
Voir une expo de photos de Miles Aldridge intitulée "I just want you to love me" et avoir envie de croquer la vie, bonheur du photographe
Lausanne
Les soirées diapo au retour en Chine, ça doit être quelque chose !
§5 Il a gentiment demandé : clic=fermer
Avant de partir, ne jamais oublier le ,,clic`` de la ceinture (La Prévention routière, fasc. 5, La Conduite sur autoroute, Paris, 1975, p. 6).
Les hauts de Lausanne - 16 heures 51 - 14'841 pas
Ce jour-là, 16 heures 49 précises :
Cinq, peut-être six kilomètres de plus au compteur l'aurait fait basculer dans le vide.
Trois, peut-être quatre secondes de plus et un bout de la barrière arrachée par le choc aurait dévié la trajectoire de ma moto - et de mon destin.
Genève - 22 heures 23 - 12'237 pas
Les moustiques tuent 800'000 personnes par année. Les serpents 100'000. Les scorpions 3'000. Les crocodiles 2'000. Les éléphants 500. Les abeilles et les frelons 400. Les fauves 250. Les hippopotames 200. Les méduses 50. Les requins 10.
Mais qu'en est-il du raffinement moelleux et tendre du Hamburger, de la pizza et du soda qui assassinent par l'intérieur, à feux doux, des centaines de milliers d'innocents consentants ?
Les fauves, les méduses et les requins - statistiquement parlé - (puisqu'on compare les éléphants et les moustiques), pourraient faire figure d' animaux de compagnies.
Genève - 07 heures 06 - 11'787 pas
Pioupiou a eu une attaque. C'est pour ça qu'elle tire la langue. Il a fallu aller jusqu'à Berne pour la soigner. Elle a dix sept ans, alors elle fatigue vite...
Bernard propriétaire protecteur du village de troglodytes de la Fosse près de Saumur.
Retournons nous à cette époque où les remèdes non remboursés tenaient le haut du pavé?
Par cette chaleur, quelques nudités raffraichiront ; le peintre "pompier" du XIXème siècle se permet bien des audaces (Musée d'Angers).
Avis de Tempête : installation du Studio 21bis à Rurart près de Poitiers. Constitué uniquement de tubes en carton ; fait penser de loin à l'installation de Ch Boltanski à la Biennale de Venise 2011.
"ennui philosophique"
[il y a des moments où le client n'est plus roi... bien fait pour lui]
c'est dit ! je me reconvertis comme dentiste !
...mais sur internet, c'est moins risqué...
Avis de disparition
Je dois vous signaler la disparition depuis plusieurs semaines d'une gerce italo pure souche, dont avec qui nous étions en relation depuis quelques années vu que et pour la cause d'un de ces sites oueb à la mode et plutôt quotidien au jour chaque jour - et d'ailleurs vous le savez aussi bien que moi - mais que voilà elle a disparu et qu'on est bien embêté.
Alors si vous avez une idée, ou un indice concommitent comme y disent dans les polars et chez les flics, vous feriez bien de nous tenir au courant du fil de l'eau (ou du rasoir) et surtout de lui dire qu'elle est attendue au troquet du coin ousqu'elle avait des habitudes - je sais bien c'que vous allez m'dire, que vous savez pas plus que moi par quel bout prendre la chose - et j'peux pas vous contredire.
Heureusement j'ai plusieurs copains ambulanciers, flics et chauffeurs de taxi et ils ont depuis 3 jours sur leurs écrans un pense-couillon leur remettant constamment en tête le profil grec que j'leur ai demandé de retrouver... On sait jamais !
Du coup les images collées plus bas dans c'quiriel vont vous booster la libido à vous aussi pour la rechercher, alors voilà... vous la photographiez c't'image avec votre i-poubelle et vous vous démerdez pour qu'elle vous envoie un message toutes les cinq minutes, que ça vous r'mette à l'ouvrage, que vous pensiez plus à glander.
Alors vous l'avez visée c't'image ci-dessus plus haut, je l'ai lumièrisée dans le car touristique de mon copain Carlos - qui s'appelle Charles depuis qu'il est suisse - c'est un peu comme les transsexuels hein ! et c'en est un qui peut sans lâcher son Siberia vanille faire une marche arrière d'une main en enfilant la ruelle Guillaume Farel et celle de l'Evêché à la suite - mais heureusement il a toujours sur son écran le profil romain, ou grec comme vous voulez, qu'il est censé me retrouver - même en marche arrière...
Donc voilà elle a disparu et on aimerait bien la r'trouver - quoique, elle pourrait bien se trouver en ce moment même et exact en italo-Italie chez ses ancêtres vu que c'est l'été ! et du coup tous les écrans profilés et ciblés "italo" des flics et autres ambulanciers ne serviront à rien vu qu'ils vont jamais plus loin que la gare de Coppet, dans le pire des cas et que l'Italie c'est loin (d'ailleurs j'y pars demain avant 6h du matin, donc je serai plus atteignable au sujet de la responsabilité de ces conneries que j'écris).
Y a vraiment des jours où les copains sont pas des copains et qu'i'm'déçoivent , vraiment !
Du coup par précaution je vous mets quelques aut' pictures'z, pacque parfois elle rit, parfois elle tire la gueule et même des fois elle est normale !
Là c'est quand elle fait fuser les lanternes !
Là quand elle se prend pour le capitaine JJ au long cours du 18-ème siècle qui a ensablé son navire sur un lac suisse grrand comme une gouille.
Et ici quand elle refuse obstinément de faire du vélo...
Merde ! elle doit quand même être reconnaissable, non ?
La môme italo Deluxe
Je vous avais parlé d'elle il y a presque deux ans, une descente en stop m'avait en quelque sorte téléscopé avec cette splendide meuf Deluxe, et je n'aurais jamais pensé la revoir. J'avais même joué avec l'illusion que j'étais bien content d'être débarrassé d'elle !
Mais les choses des humains ne sont pas si simples, comme ils disent à la télé. Donc, à peine une trentaine de jours plus tard, j'en étais déjà venu au constat consternant que je n'avais pas cessé de penser à elle.
Dites ! Vous avez déjà tenté de retrouver une fille dont vous ne savez même pas le nom, ni le lieu où elle crèche, alors que vous n'avez même pas pensé à lorgner sa plaque "minéralogique" comme ils disent lorsqu'elle vous a plaqué sur une bretelle d'autoroute !
Sur le moment j'avais vaguement pensé qu'elle descendait faire un p'tit coucou rapidos aux soeurs de sa grand mère et autres tontons, dans son village primitif où tous font du vélo et admirent dur la voiture de son patron: j'imaginais que c'était pour ça qu'elle descendrait même pas de derrière ses vitres teintées.
Cette version n'a pas duré plus que le temps qu'il m'a fallu pour trouver une station d'essence, à 500 mètres de la bretelle d'autoroute, et obtenir une canette de coca contre dix vieux dollars zambiens.
Ensuite la vie a été dure. Les jours de déprime, je la rotais dur, et je me disais: peut-être qu'elle écrit un roman à la mode... à moins que ça soit une réponse au "Parerga et Paralipomena" de Schopenhauer... et sûr qu'elle va devenir une star. Je la verrai peut-être sans arrêt à la télé et les videurs me foutront à la porte quand j'essaierai d'entrer sur les plateaux où elle se pavanera.
Ou alors quand je lui en voulais vraiment, je disais à ma concierge: "Je crois bien qu'elle est repartie en arrière dans le temps, qu'elle est à Berlin et qu'un sale mec de la Stasi est continuellement après elle, sans même se cacher. Je crois qu'elle est dans de sales draps !" Et ma concierge me disais que j'étais un pessimiste, qu'elle allait revenir... et toutes sortes de trucs crétins dans le style (ma concierge est une optimiste !)
Vise un peu le mec de la Stasi s'il est craignios !
Ou alors elle était pas du tout remontée nulle part, ni dans le temps ni dans mon estime, et elle essayait de se faire un look d'étudiante branchée et légèrement révoltée dans les manifs du premier mai (toujours à Berlin), mais elle arrivait pas à comprendre qu'avec sa caisse de ministre, ça la faisait pas du tout ! elle aurait dû la poser vers 7 heures du mat et venir à pied comme tout le monde.
C'est du moins ce que je me racontais quand j'avais réussi à vendre une dizaine de machines à tirer le lait à des mamies du quartier et que j'avais bien 200 marks tout frais devant moi, et que je pouvais au moins un peu frimer.
Bon et y faut le reconnaître, y a aussi des jours romantiques: je me posais à une terrasse, je commandais un thé de cynorrhodon et je l'imaginais roulant béatement dans une plaine infinie par un jour de soleil, remuant à peine des pensées agréables (pour elle mais peut-être pas pour moi), et ça n'en finissait pas - un thé de cynorrhodon ça peut durer au bas mot une heure et demie, de toute façon c'est dégueulasse.
(tu remarqueras que fâchée, heureuse, esseulée ou en bonne compagnie, elle a toujours la même gueule ! t'as qu'à regarder bien les photos, tu verras que j'dis pas de conneries !)
Y a bien sûr des jours où elle donnait dans le social, comme tout le monde, parcourant la ville dans une camionnette rassurante pour dénicher les pauvres glandus sans logis et leur apporter le réconfort d'un thé de cynorrhodon...
Bon ! celle-là, laisse tomber !
Mais les jours où tout allait super bien, le moral dans l'auréole, j'entendais sa voiture ralentir avec un doux chuintement au coin de la rue et s'arrêter en double file. Alors mon copain Khaled courait à la buvette et revenait avec son grand sourire et un gros sirop de grenadine (pas très class le verre de grenadine entre les dents, je le lui ai déjà souvent dit pourtant)...
Alors là, est-ce qu'elle sortait de la caisse Deluxe, ou est-ce qu'elle repartait avec un chuintement aussi doux qu'à l'arrivée, ça dépendait des versions...
Y a même un crétin qui m'a fait toute une théorie, au bar des Trois faisans (pourtant on n'était que deux !): "Peut-être qu'elle vit en Slovénie, qu'elle a des amis russes très riches qui roulent dans de vieilles Lada par snobisme, et elle n'a besoin de rien faire de ses journées, sauf sortir acheter quelques malheureux habits, et le vendredi une pâtisserie, mais une seule hein ! rien qu'une seule !"
Ce jour-là j'ai décidé qu'il fallait agir et j'ai contacté mes copains flics, brancardiers et chauffeurs de bus.
Bon je crois bien que là on a bouclé la boucle.
"Vous êtes priés de ne pas oublier de rallumer vos portables à la fin du spectacle, merci. Et si jamais, oubliez pas de lui dire..."
Ma vie sans lui
Les femmes des militaires qui sont au front au nord du Mali
Ma vie sans lui
Les femmes des militaire au front en absence de leur conjoint
Chercher la fraîcheur sous un passage souterrain et en profiter pour admirer les graffitis....
La Roque d'Anthéron, juillet 2013
Défilé du 14 juillet à la Roque d'Anthéron: mais où a-t-elle mis le bleu?
Aix en Provence, juillet 2013
"L'eau, prise en quantités modérées, ne peut faire de mal à quiconque"- Mark Twain
Avignon, juillet 2013
"The butterfly counts not months but moments, and has time enough" - Rabindranath Tagore
